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Dossier : Communautés, échanges et nouveaux modes de (télé)communication

Terminal n° 97-98, été 2006, Éditions L'Harmattan, novembre 2006, 230 pages, 21 €.

   De nombreuses raisons poussent à prendre aujourd'hui « les communautés » comme objet d'étude et de débat. La première, est que l'évolution des technologies de la communication et l'accessibilité à Internet ont profondément modifié le rôle de l'ordinateur pour les individus et les organisations. La seconde, est que le Web a projeté brutalement le numérique à l'échelle de la société toute entière.

   La question est de savoir, et ce n'est pas simple, ce que le fait d'être connecté produit comme communauté.

   La rédaction de ce dossier a choisi le classement des communautés en trois groupes :

  • Les communautés « faibles » (1re partie) qui établissent des moments communs de contacts et d'interactions sans pour autant définir des règles communes aux contours nets. Exemple : le halo des consommateurs-utilisateurs-néophytes du libre.

  • Les communautés « fortes » (2e partie), c'est à dire les communautés de personnes partageant un même objectif, un même « esprit », engagées dans un même projet. Exemple : la communauté active du libre, dont celle des enseignants (On lira avec intérêt l'article de Michèle Drechsler « La Creative Commons dans le paysage éducatif de l'édition... Rêve ou réalité ? »).

  • Les communautés sous contrainte (3e partie). Effectivement, les communautés sont souvent le lieu de tensions et de nouveaux rapports de force, notamment dans le monde de l'entreprise.

   Comme d'habitude, Terminal nous propose un dossier riche et plein d'intérêt qui observe le déploiement des TIC dans la société sous un angle original.

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Association EPI
Décembre 2006

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